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Wikio - Top des blogs - Cinéma

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Présentation

Bonjour,

Sur ce blog, on peut trouver différentes rubriques :

     - Les films d'avril : présentation de nos projets 
     - Critiques ciné : notre avis sur les films qui sont à l'affiche
     - Classiques : critiques de films relativement anciens

     - Filmographies : filmographies des acteurs et réalisateurs qui font l'actualité

     - Qui qu'a joué qui ? : noms des acteurs ayant prêté leur visage et/ou leur voix à des personnages connus

     - Dans quoi c'est-y donc que je l'ai vu ? : rubrique consacrée aux acteurs assez peu connus, souvent seconds rôles, dont on ne connait jamais le nom

     - Verbatim : chaque dimanche, une citation en lien avec les sorties de la semaine... ou non

     - Affiches : certaines affiches de films se ressemblent étrangement. Hommage, coïncidence ou copie ? A vous de juger
     - Actualité : fait d'actualité du cinéma qui nous a marqué

     - Billets d'humeur : nos coups de gueule et réactions à tout ce que nous pouvons lire/voir/entendre

D'autre part, les suggestions de critiques et/ou filmographies sont les bienvenues !
Suite à la consultation des mots clés qui vous amènent sur ce blog, nous vous informons que vous pouvez toujours nous contacter pour nous demander qui jouait "bidule" dans tel film et, si on a la réponse, on vous répondra...
N'hésitez pas à donner votre avis ou a faire des remarques : ce blog est fait pour vivre !

Présentation

Les Films d'avril est le nom que nous avons donné a notre pseudo-boîte de production (qui en réalité n'a pas un rond). Nous réalisons donc des courts métrages que vous pouvez voir sur ce blog, mais surtout, nous sommes CINEPHAGES.
Et comme nous voyons pas mal de films au cinéma, mais aussi en DVD, nous nous permettons de vous donner notre avis en essayant de rester positifs (parce qu'on a pu toucher du doigt l'inverstissement colossal que représente un film, même court, et qu'on n'est pas des critiques frustrés) !

Notre système de notation est le suivant :
 A voir séance tenante
 A ne pas rater
 Se laisse regarder
 Mouais
 Vraiment pas terrible
 Passez votre chemin
Quoi qu'il arrive, n'hésitez pas à donner votre avis ou à émettre des requêtes. Pour cela, vous pouvez nous joindre en laissant un commentaire (ça fait toujours plaisir) ou en nous écrivant :
lesfilmsd.avril@free.fr.
A bientôt !

2 août 2008 6 02 /08 /août /2008 12:07

 Panda géant !
Avec les voix de : Jack Black (Manu Payet), Dustin Hoffman (Pierre Arditi)...
L'histoire : Po, jeune panda dont l'avenir semble tracé dans la vente de soupes, ne rêve que de kung fu. Mais ne serait-il pas en fait le guerrier légendaire capable de terrasser la terrible menace qui pèse sur son village ?
Mon avis : Produit par Dreamworks, le nouveau film du célèbre studio est un véritable distillateur de bonne humeur. Avec ses clins d'œil aux films de kung fu et ses gags rafraîchissants, le film de  Mark Osborne et John Stevenson passe à une vitesse folle. Bien sûr le film ne révolutionne pas le film d'animation, mais la beauté du graphisme et les trognes de ces animaux adeptes des arts martiaux font de ce divertissement familial un moment savoureux et touchant. Même les Cahiers du cinéma ont apprécié, c'est dire. Les voix françaises sont réussies, avec mention spéciale à Pierre Arditi en maître Shifu. Signalons que la musique est cosignée par deux grands noms de la BO : Hans Zimmer et John Powell...

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1 août 2008 5 01 /08 /août /2008 14:33

 En vert et contre tous
Avec : Edward Norton, Liv Tyler, William Hurt, Tim Roth…
L’histoire : Le scientifique Bruce Banner, capable de se transformer en géant vert quand il est bien énervé, a décidé de fuir son monde et s’est réfugié dans une favella du Brésil. Mais l’armée, avec qui il a travaillé, réussit à le localiser…
Mon avis : Nous avions quelques raisons d’être sceptiques quant à un nouvel opus du géant vert, la principale étant son réalisateur. En effet, nous ne sommes pas vraiment fans du Transporteur 1 et 2, dont les scénarios semblaient écrits avec deux pieds gauches. Bonne nouvelle : avec une histoire d’aplomb (loin cependant d’égaler les scénarii de Nolan pour ses Batman), Louis Leterrier se montre un sacré bon filmeur. Le film est également plaisant grâce à son casting : Norton, le plus grand sans doute aujourd’hui, apporte de la finesse à son personnage de héros malgré lui ; Hurt et Roth, désormais habitués aux rôles de méchants, ne font pas dans la dentelle, mais assurent dans leurs petit numéros de gros vilains. Si la transformation de Banner en Hulk est impressionnante, on aurait aimé que ce dernier lui ressemble un peu plus… Pas le meilleur film de super-héros mais le résultat est plus qu’honorable.

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27 juin 2008 5 27 /06 /juin /2008 19:32

Formé à la Royal Academy of Dramatic Arts, Ralph Fiennes (frère aîné de Joseph) commence sa carrière au théâtre. En 1990, il s'oriente vers la télévision et le cinéma. Son premier long métrage, il le tourne aux côtés de Juliette Binoche : Les Hauts de Hurlevent (1992). L'année suivante, il n'hésite pas à prendre du poids pour interpréter l'impitoyable officier nazi dans La Liste de Schindler de Steven Spielberg pour lequel il est primé. Il se glisse ensuite dans la peau d'un intellectuel hautain dans Quiz Show (1994) et d'un trafiquant de drogue dans Strange Days (1995).
Son plus grand succès critique est pour son rôle de comte mélancolique dans Le Patient anglais (1996), nationalité qui lui sert pour le rôle de l'agent John Steed dans Chapeau melon et bottes de cuir (1998). En 1999, il est l'amant passionné de Julianne Moore dans La Fin d'une liaison et joue trois rôles dans la grande fresque épique Sunshine.
Multipliant les genres, Ralph Fiennes interprète un schizophrène dans l'étrange Spider (2002) de David Cronenberg, le tueur en série de Dragon Rouge, s'essaye à la comédie romantique dans Coup de foudre à Manhattan (2003) et aide Nick Nolte a organiser deux casses pour L'Homme de la Riviera. En 2005, il se glisse successivement dans la peau de deux lords : dans Wallace et Gromit et le mystère du lapin-garou puis Voldemort dans Harry Potter et la Coupe de Feu (ainsi que dans les films suivants).
Ont suivi The Constant Gardener de Fernando Meirelles et Chromophobia de sa sœur Martha. En 2007, il réalise son premier film,  Snow Country, qui sera suivi par un second, Coriolan en 2011. 

En 2008, il est à l'affiche de Bons baisers de Bruges et, en 2009, du film de Stephen Daldry (Billy Elliot, The Hours) : The Reader. L'année suivante, il retrouve Liam Neeson (après La Liste de Schindler) pour Le Choc des Titans de Louis Leterrier, dans lequel il joue Hades (rôle qu'il reprend 2 ans plus tard dans La Colère des Titans). Entre temps, Ralph Fiennes se paye le luxe d'intégrer le casting du nouveau James Bond, Skyfall, et s'assure ainsi d'apparaître dans une nouvelle franchise.



FILMOGRAPHIE
1992 LesHauts de Hurlevent (Kosminsky)
1994 The Baby of Mâcon (Greenaway)
        La Liste de Schindler (Spielberg)
1995 Quiz Show (Redford)
1996 Strange Days (Bigelow)
1997 Oscar et Lucinda (Armstrong)
        Le Patient anglais (Minghella)
1998 Chapeau melon et bottes de cuir (Chechik)
        Le Prince d'Egypte (Hickner)
1999 Onegin (Fiennes)
2000 La Fin d'une liaison (Jordan)
        Il était une fois Jesus (Sokolov)
        Sunshine (Szabo)
2002 Dragon Rouge (Ratner)
        Spider (Cronenberg)
2003 Coup de foudre à Manhattan (Wang)
        L'Homme de la Riviera (Jordan) 
2004 The Chumscrubber (Posin)
        La Comtesse blanche (Ivory)
2005 Doris et Bernard (Balaban)
        The Constant Gardener (Meirelles)
2006 Chromophobia (Fiennes)
2007 The Gifted (Estes)
        Harry Potter et l'Ordre du Phénix (Yates)
2008 Bons baisers de Bruges (McDonagh)
        The Duchess (Dibb)
2009
The Reader (Daldry)
        Démineurs (Bigelow)
2010 Nanny McPhee et le Big Bang (White)
        Le Choc des Titans (Leterrier)
        Cemetery Junction (Merchant et Gervais)
 
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26 juin 2008 4 26 /06 /juin /2008 18:46

Acteur irlandais né en 1956, Brendan Gleeson est d’abord instituteur, et c’est Jim Sheridan qui le dirige pour la première fois sur grand écran dans The Field en 1990. C'est 5 ans plus tard qu'il sera révélé au grand public avec le rôle de Hamish, compagnon d’arme de Mel Gibson dans Braveheart. Puis il obtient le rôle-titre de film de John Boorman, Le Général (Prix de la mise en scène à Cannes en 1998), pour lequel il sera primé à plusieurs reprises. Il enchaîne ensuite les seconds rôles tour à tour sympathiques (A.I. Intelligence Artificielle de Steven Spielberg, 28 jours plus tard de Danny Boyle) ou rustres (Le Tailleur de Panama, Gangs of New York de Martin Scorsese). En 2004 il est à l’affiche de Retour à Cold Mountain de Minghella, de Troie et du Village et l’année suivante on le retrouve en roi fourbe dans Kingdom of Heaven puis il incarne l’excellent Maugrey Fol-Œil dans Harry Potter et la Coupe de Feu et ses suites. Il était aussi aux côtés de Cillian Murphy dans Breakfast On Pluto en 2006 et, comme Ray Winstone, dans La Légende de Beowulf de Robert Zemeckis (2007). Ce n’est donc pas un hasard si cet acteur se trouve dans cette rubrique : à trop brouiller les pistes, on devient difficile à identifier… jusqu’à 2008 où on le retrouve en tueur à gages paternaliste dans Bons baisers de Bruges. En 2010, il est attendu dans Green Zone, le prochain film de Paul Greengrass, aux côtés de Matt Damon et de son collègue d'Harry Potter, Jason Isaacs.

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26 juin 2008 4 26 /06 /juin /2008 18:27

 Mise en bière belge
Avec : Colin Farrell, Brendan Gleeson, Ralph Fiennes...
L'histoire : Deux tueurs à gages sont envoyés à Bruges afin de se faire oublier un temps. Leur séjour est émaillé de rencontres et de visites diverses. Mais un soir, leur patron les contacte et demande à l'un d'abattre l'autre...
Mon avis : Premier film de Martin McDonagh, Bons baisers de Bruges est un polar hybride et détonnant qui même à la fois humour, suspense, film noir et drame psychologique. L'ensemble apparaît un tantinet décousu mais il faut avouer que le réalisateur s'est amusé à détourner toutes les pistes habituelles. Film décalé, certes, mais sans cynisme gratuit. C'est aussi ce qui en fait l'intérêt : ces tueurs là, très communs au demeurant, l'un profitant de la ville et de ses trésors, l'autre s'emmerdant comme un rat mort, ne sont pas que des monstres froids. La culpabilité n'est jamais loin, et tant pis s'il faut la noyer dans les pintes de bière. Le duo principal fonctionne bien : Farrell (jamais aussi bon que lorsqu'il joue un type rongé par la culpabilité, cf. Le rêve de Cassandre) et Gleeson (en tueur paternaliste) arrivent à surprendre dans des figures archétypales mille fois vues. Mais le pompon revient Ralph Fiennes, flippant et imprévisible. Plans étonnants, ambiance inédite, bons acteurs, ce film n'est certes pas un chef d'œuvre mais se laisse voir agréablement en ces temps de canicule. Et Bruges, il faut le dire, est bien jolie...

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26 juin 2008 4 26 /06 /juin /2008 11:36

 Déroute à Beyrouth
De et avec : Ari Folman
L'histoire : Ari Folman a été soldat et a participé à la guerre du Liban. Il ne lui reste que peu de souvenirs de cette période si bien qu'il part à la recherche de ses anciens compagnons d'arme afin de combler son amnésie...
Mon avis : Troisième long métrage de Ari Folman, Valse avec Bachir plonge le spectateur dans un trip visuel hallucinant, tiré de l'expérience personnelle du réalisateur. Son univers visuel, intime et hypnotique, coupe le souffle. Beauté du dessin, intelligence du propos, plans travaillés utilisant toutes les ressources du cinéma concourent à la réussite de ce film injustement boudé lors du palmarès de Cannes. Il y a toujours matière à être déçu par un palmarès, mais là, on se demande comment un jury « engagé » a pu passer à côté d'un tel bijou. Ceux qui reprocheraient à Folman de trop esthétiser la guerre et ses ravages, préférant l'animation à la prise de vues réelles, se trompent lourdement. Dans les dernières minutes du film, relatant le massacre de Sabra et Chatila, le réalisateur montre combien sa lucidité est grande : dans les dernières minutes du film l'horreur, la vraie, ne peut pas être dessinée...  A voir absolument.

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23 juin 2008 1 23 /06 /juin /2008 20:02

 Au vent mauvais
Avec : Marc Wahlberg, Zooey Deschanel...
L'histoire : Une série de suicides inexpliquée frappe la côte est américaine. Un professeur de sciences et sa femme tentent de fuir la ville afin de se réfugier à la campagne...
Mon avis : Après un beau conte pour adultes largement sous-estimé (La jeune fille de l’eau), M. Night Shyamalan revient avec un huitième film qui renoue avec ses plus grands succès : scénario simple mais imparable, angoisse permanente, tristesse diffuse. Phénomènes est une belle réussite : chaque plan porte la marque du réalisateur. Mais le plus surprenant n’est pas cette histoire où la Nature se retournerait contre l’homme. Ce sont surtout les scènes qui montrent (sans trop d’effet d’ailleurs, si ce n’est un plan séquence remarquable où une arme passe de main en main) des hommes et des femmes ayant décidé de mettre fin à leurs jours. Parce que simples et baigné d’une douceur morbide et terrifiante dans leurs résultats, elles impriment durablement la rétine. Shyamalan ose quelques effets chocs, mais on est loin du film d’horreur basique. Dans Phénomènes, c’est le vent dans les arbres qui fout les jetons. Cette simplicité fait mouche et baigne le film dans un véritable univers « fantastique ». Enfin, l’émotion jamais cynique du réalisateur (car oui, le film est émouvant) finit par emporter l’adhésion. Certains ricaneront devant le message écologique du film ou devant le ton étrangement monotone des acteurs (les personnages sont-ils déjà morts ?). C’est dommage tant le plaisir de filmer de Shyamalan est communicatif et, osons le mot, jouissif. Le « voyage » vaut le coup d’œil…

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24 mai 2008 6 24 /05 /mai /2008 21:45

 Papy fait de la résistance
Avec : Harrison Ford, Shia Le bœuf, Cate Blanchett, Ray Winstone...
L'histoire : Le célèbre archéologue rempile pour une nouvelle aventure pleine de cascades, de méchants russes et de mythes ancestraux...
Mon avis : Dix neuf  ans après La Dernière Croisade, Steven Spielberg ressuscite son personnage le plus célèbre pour une quatrième aventure attendue au tournant. C'est ce qui explique sans doute l'accueil plutôt tiède du film à Cannes. Relativisons : l'histoire a maintes fois démontré combien le critique français était des plus perspicaces pendant ce grand festival... La faute à l'alcool, sans doute. Pour être franc, à l'annonce du tournage d'un quatrième épisode, j'étais un tantinet inquiet. Etait-ce bien raisonnable de remettre le couvert ? La réponse est oui ! Quel plaisir de retrouver le sourire en coin et l'air lessivé de Harrison Ford, la musique euphorisante de John Williams et le génie graphique de Spielberg. Voilà un réalisateur qui n'a rien à prouver, qui a même plus à perdre qu'à y gagner avec ce nouvel opus et qui nous sert des scènes d'action jamais vues. Le plaisir est là, évident, et cet esprit est tellement communicatif qu'on en sourit. Les clins d'œil sont nombreux et renforcent sans nul doute le fun de l'entreprise. Soulignons la sublime lumière de Janusz Kaminski (La Liste de Schindler, Minority Report...) qui ajoute de la classe à l'édifice. Bien sûr, vous entendrez autour de vous des grincheux, des blasés qui égraineront la fameuse rengaine du « c'était mieux avant », ou que Ford est trop vieux pour jouer les héros. Un conseil, soyez imperméables à ces avis, et ne boudez pas votre plaisir !

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15 mai 2008 4 15 /05 /mai /2008 19:06


Avec : Charlize Theron, Woody Harrelson, Ray Liotta...
L'histoire : Seattle, 1998, pendant la venue de l'OMC.
Mon avis : Premier film de Stuart Townsend (vu dans Mauvaise Passe et Shooting Fish), Bataille à Seattle est un film plein de bonnes intentions et réussi dans sa forme. Les scènes de manifestation et de débordements sont d'un réalisme assez bluffant. Mais le propos du cinéaste s'essouffle quelque peu dans la deuxième partie du film. S'il réussit dans un premier temps à installer une sorte d'équilibre entre les « puissants » et les « gens de la rue », Townsend choisit son camp (ce qui est légitime) mais les ficelles manquent quelque peu de finesse (une journaliste se rallie aux manifestants en deux temps trois mouvements, etc.). Film impliqué, Bataille à Seattle tranche avec les productions calibrées : ça change et c'est plutôt encourageant, mais son propos n'est sans doute pas assez fouillé pour être totalement convaincant.

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14 mai 2008 3 14 /05 /mai /2008 17:15

Le jour de l'ouverture du Festival de Cannes, nous vous proposons la cuvée 2008 des Gérard.
Rappel du principe : élire les plus mauvais comédiens de chaque catégorie, ainsi que le plus mauvais film, etc. En toute mauvaise foi, et avec des catégories variables selon les années. Equivalent des Razzie Awards américains en version cheap.
Palmarès :
Gérard du film où on sait pas si on s'en va, si on revient, ou alors quoi ?
Pars vite et reviens tard (Régis Wargnier)
Gérard de l'acteur qui aurait vraiment mieux fait de continuer à faire des sketches
Jean-Paul Rouve (Ce soir, je dors chez toi)
Gérard de l'actrice que les journalistes appellent "mademoiselle" au lieu de "mémé"
Catherine Deneuve (Après lui)
Gérard du mauvais timing
Taxi 4 (Samy Naceri)
Gérard de l'ersatz
Clovis Cornillac (Scorpion)
Gérard du plus mauvais animal dans un rôle d'animal
Ce soir, je dors chez toi (Jean-Paul Rouve)
Gérard de la compromission alimentaire
Alexandre Astier (Astérix aux Jeux Olympiques)
Gérard du film dont on a appris l'existence en préparant les catégories des Gérard
Très bien, merci
Gérard du filmu roumanescu
4 mois, 3 semaines, 2 jours
Gérard du désespoir masculin
Franck Dubosc (Astérix aux Jeux Olympiques)
Gérard du désespoir féminin
Monica Bellucci (Le Deuxième souffle)
Gérard du plus mauvais film de l'histoire du cinéma en 2007
Astérix aux Jeux Olympiques
Gérard de l'actrice qui bénficie le mieux des réseaux de son mari
Arielle Dombasle (Gradiva)

Soyons honnêtes, tout cela n'est pas toujours mérité. Mais cela permet de pointer certains navets et de dégonfler têtes et chevilles avant le tapis rouge !
La vidéo 
ici. A vos commentaires...

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