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Wikio - Top des blogs - Cinéma

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Présentation

Bonjour,

Sur ce blog, on peut trouver différentes rubriques :

     - Les films d'avril : présentation de nos projets 
     - Critiques ciné : notre avis sur les films qui sont à l'affiche
     - Classiques : critiques de films relativement anciens

     - Filmographies : filmographies des acteurs et réalisateurs qui font l'actualité

     - Qui qu'a joué qui ? : noms des acteurs ayant prêté leur visage et/ou leur voix à des personnages connus

     - Dans quoi c'est-y donc que je l'ai vu ? : rubrique consacrée aux acteurs assez peu connus, souvent seconds rôles, dont on ne connait jamais le nom

     - Verbatim : chaque dimanche, une citation en lien avec les sorties de la semaine... ou non

     - Affiches : certaines affiches de films se ressemblent étrangement. Hommage, coïncidence ou copie ? A vous de juger
     - Actualité : fait d'actualité du cinéma qui nous a marqué

     - Billets d'humeur : nos coups de gueule et réactions à tout ce que nous pouvons lire/voir/entendre

D'autre part, les suggestions de critiques et/ou filmographies sont les bienvenues !
Suite à la consultation des mots clés qui vous amènent sur ce blog, nous vous informons que vous pouvez toujours nous contacter pour nous demander qui jouait "bidule" dans tel film et, si on a la réponse, on vous répondra...
N'hésitez pas à donner votre avis ou a faire des remarques : ce blog est fait pour vivre !

Présentation

Les Films d'avril est le nom que nous avons donné a notre pseudo-boîte de production (qui en réalité n'a pas un rond). Nous réalisons donc des courts métrages que vous pouvez voir sur ce blog, mais surtout, nous sommes CINEPHAGES.
Et comme nous voyons pas mal de films au cinéma, mais aussi en DVD, nous nous permettons de vous donner notre avis en essayant de rester positifs (parce qu'on a pu toucher du doigt l'inverstissement colossal que représente un film, même court, et qu'on n'est pas des critiques frustrés) !

Notre système de notation est le suivant :
 A voir séance tenante
 A ne pas rater
 Se laisse regarder
 Mouais
 Vraiment pas terrible
 Passez votre chemin
Quoi qu'il arrive, n'hésitez pas à donner votre avis ou à émettre des requêtes. Pour cela, vous pouvez nous joindre en laissant un commentaire (ça fait toujours plaisir) ou en nous écrivant :
lesfilmsd.avril@free.fr.
A bientôt !

7 mai 2011 6 07 /05 /mai /2011 09:19

Blade-Runner.jpg

 

De : Ridley Scott

Avec : Harrison Ford, Sean Young, Rutger Hauer…

L’histoire : En 2019, les réplicants, des androïdes utilisés par les humains pour accomplir les travaux ingrats, se sont révoltés. Ils sont désormais interdits sur Terre et un service de police particulier, les Blade Runner, a pour tâche de les éliminer. Deckard, l’un d’entre eux, a pour mission de retrouver des fugitifs qui se cachent à Los Angeles…

Mon avis : Réalisé en 1982 et considéré comme un film culte, Blade Runner ne nous a pas emportés comme nous l’aurions souhaité. Bien sûr, le film de Ridley Scott est de ceux qui prennent une toute autre envergure dans une salle de cinéma. Néanmoins, cela est-il suffisant pour masquer ses lacunes ? Le scénario, d’abord. Pourquoi ce refus d’insuffler à ses personnages une once de psychologie ? (Ni Deckard ni l’androïde Rachel ne se posent trop de questions sur les sentiments naissants entre eux. Et puis qui donc est Gaff, et à quoi sert-il ?) Cela aurait permis de mieux expliciter les motivations du personnage principal par exemple. Surtout, le film pâtit d’une musique signée Vangelis (en très petite forme, notamment dans les scènes de séduction), tellement ringarde qu’elle fait sourire. Heureusement, l’ambiance générale (froide, pluvieuse et oppressante) et les décors réalistes (tantôt désertés, tantôt bondés) offrent à Blade Runner ses meilleurs moments. Mais le rythme est si languissant, que finalement, on est surpris de constater qu’il ne s’y passe pas grand chose. Un film qu’il est intéressant malgré tout de « visiter » tant il a influencé des générations de réalisateurs qui l’ont d’ailleurs assez honteusement copié…

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6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 10:42

au-pays-des-etoiles.jpg

De : Graham Heid

L’histoire : Trois petits garçons voguent dans les cieux…

Mon avis : Adaptation d’un poème d’Eugène Field, ce Silly Symphonie fait penser par bien des côtés à Peter Pan (tant formellement que sur le fond). Dans le monde poétique des rêves, nous nous retrouvons à voguer parmi dans les cieux (très belle utilisation de la caméra multiplan), accompagnés par de très jolis poissons en étoile, sur l’air de A vous dirais-je maman.

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3 mai 2011 2 03 /05 /mai /2011 10:43

source-code.jpg

 

De : Duncan Jones

Avec : Jake Gyllenhaal, Michelle Monaghan, Vera Farminga...

L’histoire : Le soldat Colter Stevens se réveille en sursaut dans un train à destination de Chicago. Amnésique, il n’a aucun souvenir d’être monté dedans. Lorsqu’une bombe explose à bord, Colter se réveille dans un étrange caisson et découvre qu’il participe à un procédé expérimental mené par l’armée…

Mon avis : Second film de Duncan Jones, Source Code confirme le talent de ce cinéaste, très à l’aise dans les ambiances futuristes. D’ailleurs, on peut reconnaitre quelques thèmes qui apparaissaient déjà dans Moon : l’enfermement physique, les pertes de repères mentales, les expériences scientifiques pouvant amener une nouvelle forme d’esclavage… On est aussi agréablement surpris par la prestation de Jake Gyllenhaal, à l’aise dans un rôle assez physique de militaire largué dans l’espace-temps. Ludique, bien écrit et bien réalisé, Source Code n’entame pas une révolution cinématographique en matière de science-fiction mais s’avère être un divertissement très plaisant et prenant. Bref, un spectacle qui tient ses promesses...

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1 mai 2011 7 01 /05 /mai /2011 10:28

al-capone.jpg

Né le 17 janvier 1899, Alphonse Capone grandit à New York et devient rapidement un « street punk ». Le quartier général de Johnny Torrio est à quelques pâtés de maison de celle d’Al, qui trouve en Torrio un mentor inestimable. Il se fait un peu d’argent en faisant des commissions pour lui, et quand Torrio déménage à Chicago, Al tombe sous d’autres influences. Il rejoint le gang des Five Points dirigé par Frankie Yale qui l’engage comme barman. C’est à cette période qu’il se bat avec un homme qui lui lacère le visage, ce qui lui vaudra le surnom de "Scarface". Mais quand nait son premier enfant, Al se range, devient comptable, et épouse Mae. Ce n’est qu’à la mort de son père, en 1920, qu’il reprend contact avec Johnny Torrio qui, entre-temps, a déménagé à Chicago où les possibilités (dont la contrebande d’alcool) sont plus grandes.

A 25 ans, Al Capone, rompant avec les qualités de discrétion de son associé, est devenu l’homme à abattre. La violence faisant rage à Chicago entre forces de police et gangs rivaux, Torrio décide de s’exiler et lègue tout à Capone qui, secondé par son homme de main Frank Nitti, devient l’homme le plus puissant de Chicago. En 1929, Eliot Ness forme un groupe d’agents fédéraux à l’éthique irréprochable, ce qui leur vaut le surnom d’"Incorruptibles". Après 2 ans d’enquête, ils parviennent à faire juger Capone pour 22 chefs d’accusation autour de la fraude fiscale. Après un bref emprisonnement à Atlanta, il est envoyé à Alcatraz en 1934. Libéré en novembre 1939, il s’installe en Floride où la syphilis contractée dans sa jeunesse aura raison de lui. Il décède d’une crise cardiaque le 25 janvier 1947.

Voici les acteurs qui ont prêté leur visage à ce personnage devenu légendaire au fil du temps :

Paul Muni dans Scarface de Howard Hawks, joue un personnage nommé Tony Camonte, Al Capone étant encore vivant à l’époque (1932)

Samson dans Jawan Ki Pukar de D. Bilimoria (1942)

Vincent Barbi dans Toto all’inferno de Camillo Mastrocinque (1955)

Saverio LoMedico dans The Purpule Gang de Frank McDonald (1959)

Rod Steiger dans Al Capone de Richard Wilson (1959)

Neville Brand dans Dompteur de femmes (The George Raft Stiry) de Joseph M. Newman (1961)

José Calvo dans Due Mafiosi contro Al Capone de Giorgio Simonelli (1966)

Jason Robards dans L’Affaire Al Capone (The St Valentine’s Day Massacre) de Roger Corman avec Harold J. Stone dans le rôle de Frank Nitti (1967)

Jésus Puente dans El Regreso de Al Capone de José Maria Zabalza (1969)

Maurice Barrier dans Salut l’artiste d’Yves Robert (1973)

Ray Marioni dans le James Bond L’Homme au pistolet d’or de Guy Hamilton (1974)

Ben Gazzara dans Capone de Steve Carver avec Sylvester Stallone dans le rôle de Nitti (1975)

Louis Giambalvo dans Gangster Wars de Richard C. Sarafian (1982)

Thomas G. Waites dans The Verne Miller Story de Rod Hewitt en 1987

Robert De Niro dans Les Incorruptibles de Brian De Palma, qui a remplacé Bob Hoskins qui devait interpréter le rôle, avec Billy Drago dans le rôle du psychopathe Frank Nitti (1987)

Titus Welliver dans Les Indomptés (Mobsters) de Michael Karbelnikoff 1991

Bernie Gigliotti dans The Babe de Arthur Hiller (1992)

Dan Castellaneta dans un épisode de Itchy & Scratchy : The Movie des Simpson (saison 4 épisode 6 - 1993)

Vincent Riotta dans A Little Worm de Marc Benardout (1995)

F. Murray Abraham dans Dillinger and Capone de Jon Purdy (1995) et Baby Face Nelson de Scott P. Levy (1996)

Kurt Andon dans Kiss of Death de Barbet Schroeder (1997)

Thomas Guei dans Bronx-Barbès de Eliane de Latour (2000)

Julian Littman dans Capone’s Boys de Richard Standeven (2002)

Hank Sinatra dans The Speakeasy de Matt Dalrymple (2006)

William V. Marzullo dans The Other Side of Capone de Ron Karpman (2008)

Jon Bernthal dans La Nuit au musée 2 de Shawn Levy (2009)

Et on ne sait pas encore qui dans Capone Rising de Brian De Palma, sortie prévue en 2012, avec Gerard Butler en Jimmy Malone (rôle précédemment tenu par Sean Connery).

Quant à Frank Nitti (1881 – 1943), il apparait seul dans quelques films, pour évoquer l’organisation de Capone :

Stanley Tucci dans Les Sentiers de la Perdition de Sam Mendes (2002)

Bill Camp dans Public Enemies de Michael Mann (2009)

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1 mai 2011 7 01 /05 /mai /2011 09:52

Jones-Duncan.jpg

« La fin actuelle de Source Code en est une à la Twilight Zone (La Quatrième Dimension) : elle interpelle le public tout en répondant à des interrogations. »

Duncan Jones, sur le site lebuzz.info

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30 avril 2011 6 30 /04 /avril /2011 10:31

moon.jpg

 Space Oddity

De : Duncan Jones

Avec : Sam Rockwell...

L’histoire : Sam Bell vit depuis plus de trois ans dans une station lunaire où il gère l'extraction de l'hélium 3, seule solution à la crise de l'énergie sur Terre. Mais quelques semaines avant la fin de son contrat pour l'entreprise Lunar, il se met à voir et à entendre des choses étranges...

Mon avis : Premier film de Duncan Jones (Source Code), Moon est une très bonne surprise. Si le scénario rappelle sans les copier quelques films phares de science-fiction, il ne sombre jamais dans le plagiat. Moon a tout de même son ambiance propre, entre lenteur et tension. La mise en scène est carrée et précise, et les images bien agréables à regarder. On imagine facilement que le film n’a pas obtenu un budget des plus généreux, mais à aucun moment on ne ressent le manque de moyens financiers. Le bel atout du film, c’est l’interprétation de Sam Rockwell, qui a dû se faire plaisir en interprétant un double rôle pas si facile (mais chut !). Ajoutez à cela la bonne musique de Clint Mansell (Pi, Requiem for a dream, Black Swan) et vous obtiendrez un bon huis clos de science-fiction. On se demande d’ailleurs pourquoi Moon (présenté à Sundance et Prix du jury et le prix du public au festival du film fantastique de Gérarmer) n’est pas sorti en salles en France…

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29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 10:32

Roi-midas-copie-1.jpg

De : Walt Disney

L’histoire : Le Roi Midas ne pense qu’à l’argent et souhaite acquérir le « touché d’or ». Le bien nommé elfe Goldie lui propose alors un marché…

Mon avis : Si la première scène du Roi Midas fait indéniablement penser à celle de Robin des Bois dans laquelle le Prince Jean compte son or, il ne ressemble à aucun autre film des Studios Disney que j’ai eu l’occasion de voir. Un héros mythologique amusant et vénal, qui se rend vite compte de la bêtise qu’il a faite en formulant son souhait… et supplie qu’on le lui retire pour enfin pouvoir manger. Si la leçon du mythe est clairement en faveur du partage, celle du court métrage pourrait aussi bien être « rien ne vaut un bon hamburger. »

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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 10:35

guzman-luis.jpg

Acteur portoricain né le 28 août 1956, Luis Guzman a d’abord été travailleur social à New York, avant de se lancer dans le théâtre de rue puis de se risquer à quelques apparitions dans des séries télévisées. Sa carrière n’est composée que de seconds rôles, mais il a eu l’occasion de travailler avec de grands réalisateurs. Ainsi, il a tourné Black Rain avec Ridley Scott, Family Bussiness, Contre Enquête et L’Avocat du Diable avec Sidney Lumet, Mr Wonderful avec Anthony Minghella, L’Impasse et Snake Eyes avec Brian De Palma, Boogie Nights, Magnolia et Punch-Drunk Love avec Paul Thomas Anderson, Hors d’Atteinte, L’Anglais, Traffic avec Steven Soderbergh et L’Attaque du métro 123 avec Tony Scott.

Il apparait aussi dans quelques comédies comme Crocodile Dundee 2, Self Control, Bienvenue à Collinwood, Dumb & Dumberer, Les Désastreuses aventures des Orphelins Baudelaire, Yes Man ou encore Ce que pensent les hommes, et dans d’autres films… nettement plus riches en testostérone (Rogue : L’Ultime affrontement, Cleaner).

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27 avril 2011 3 27 /04 /avril /2011 10:20

En dehors de leur affiche, ces films n'ont rien en commun. Ou peut-être la folie créative de leur réalisateur...

Big-Fish.jpgLovely-Bones.jpg

Big Fish (Tim Burton) - 2003 et Lovely Bones (Peter Jackson) - 2009

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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 09:16

apollo-13.jpg

 Lost in space

De : Ron Howard

Avec : Tom Hanks, Gary Sinise, Kevin Bacon, Ed Harris...

L’histoire : Le 11 avril 1970, la navette Apollo quitte le sol américain pour une nouvelle mission dans l’espace. Deux jours plus tard, suite à un incident technique à bord de l’engin, la navette n’est plus assurée de revenir sur Terre avec assez d’oxygène…

Mon avis : Sur le papier, Apollo 13 est très alléchant : une histoire forte, un casting masculin de haute volée, et un réalisateur efficace, et peut-être sous estimé. Après visionnage, on peut dire que la mission a été joliment réussie, et le cahier des charges respecté. Apollo 13 est un très bon divertissement, et il a le bon goût de ne pas verser dans la glorification de l’Amérique triomphante. La prouesse de Ron Howard relève dans sa capacité à créer le suspense alors que nous connaissons tous la fin de l’histoire, et cela est d’autant plus remarquable que le film se déroule principalement dans deux lieux : la salle de contrôle et la capsule spatiale. Ce n’est pas non plus une grosse machine à effets spéciaux avec dialogues incompréhensibles (bon, il y en a quand même quelques uns). Au contraire, il fait la part belle à l’aspect humain de l’aventure et en ce qui concerne Jim Lovell, aux angoisses éprouvées par sa famille. On peut aussi voir dans Apollo 13 une métaphore d’un tournage de grande ampleur : on a beau avoir préparé le meilleur des plans de tournage avec les meilleurs techniciens, il est parfois indispensable de recourir à la débrouille…

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