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Wikio - Top des blogs - Cinéma

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Présentation

Bonjour,

Sur ce blog, on peut trouver différentes rubriques :

     - Les films d'avril : présentation de nos projets 
     - Critiques ciné : notre avis sur les films qui sont à l'affiche
     - Classiques : critiques de films relativement anciens

     - Filmographies : filmographies des acteurs et réalisateurs qui font l'actualité

     - Qui qu'a joué qui ? : noms des acteurs ayant prêté leur visage et/ou leur voix à des personnages connus

     - Dans quoi c'est-y donc que je l'ai vu ? : rubrique consacrée aux acteurs assez peu connus, souvent seconds rôles, dont on ne connait jamais le nom

     - Verbatim : chaque dimanche, une citation en lien avec les sorties de la semaine... ou non

     - Affiches : certaines affiches de films se ressemblent étrangement. Hommage, coïncidence ou copie ? A vous de juger
     - Actualité : fait d'actualité du cinéma qui nous a marqué

     - Billets d'humeur : nos coups de gueule et réactions à tout ce que nous pouvons lire/voir/entendre

D'autre part, les suggestions de critiques et/ou filmographies sont les bienvenues !
Suite à la consultation des mots clés qui vous amènent sur ce blog, nous vous informons que vous pouvez toujours nous contacter pour nous demander qui jouait "bidule" dans tel film et, si on a la réponse, on vous répondra...
N'hésitez pas à donner votre avis ou a faire des remarques : ce blog est fait pour vivre !

Présentation

Les Films d'avril est le nom que nous avons donné a notre pseudo-boîte de production (qui en réalité n'a pas un rond). Nous réalisons donc des courts métrages que vous pouvez voir sur ce blog, mais surtout, nous sommes CINEPHAGES.
Et comme nous voyons pas mal de films au cinéma, mais aussi en DVD, nous nous permettons de vous donner notre avis en essayant de rester positifs (parce qu'on a pu toucher du doigt l'inverstissement colossal que représente un film, même court, et qu'on n'est pas des critiques frustrés) !

Notre système de notation est le suivant :
 A voir séance tenante
 A ne pas rater
 Se laisse regarder
 Mouais
 Vraiment pas terrible
 Passez votre chemin
Quoi qu'il arrive, n'hésitez pas à donner votre avis ou à émettre des requêtes. Pour cela, vous pouvez nous joindre en laissant un commentaire (ça fait toujours plaisir) ou en nous écrivant :
lesfilmsd.avril@free.fr.
A bientôt !

13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 10:21

L'affiche de Microcosmos est un clin d'oeil amusant à celle de L'Ours sorti près de 10 ans plus tôt.

l-ours.jpgMicrocosmos.jpg

L'Ours (Jean-Jacques Annaud) - 1988 et Microcosmos (Claude Nuridsany et Marie Pérennou) - 1995

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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 08:44

maitre-de-guerre.jpg

 

De : Clint Eastwood

Avec : Clint Eastwood, Marsha Mason, Moses Gunn…

L’histoire : Un sergent instructeur en rébellion contre sa hiérarchie a pour mission de former des jeunes recrues tire-au-flanc et d’en faire une troupe de reconnaissance digne des Marines…

Mon avis : C’est sûr, ce n’est pas le film d’Eastwood le plus classe ni le plus subtil. Mais Le Maître de guerre lui permet de jouer avec les codes du film de genre et de tourner des scènes que l’on a revues depuis dans d’autres films (Coast Guards notamment). Bourrin, vulgaire et macho, Eastwood excelle dans son rôle de teigne au sens du devoir exacerbé. Mais malgré sa présence et un humour lourdaud (qui peut plaire), ce film n’a vraiment rien de rare et est trop long de 20 bonnes minutes (l’intervention finale à La Grenade est largement sous-exploitée). Dans le même genre (un sergent instructeur tyrannisant des jeunes marines), on vous recommande plutôt le bien meilleur Full Metal Jacket de Kubrick sorti 6 mois plus tard. Le Maître de guerre ne vaut en définitive le coup d’œil que pour voir Eastwood troubler une nouvelle fois son image de macho patriotique…

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11 avril 2011 1 11 /04 /avril /2011 10:08

Wendy-et-Lucy.jpg

De : Jon Raymond

Paru en 2008, le recueil de nouvelles Wendy et Lucy propose des tranches de vie de gens en décalage avec le monde et souvent un peu paumés. C’est le cas de Wendy (héroïne de la dernière nouvelle qui donne son nom au recueil), une jeune femme obligée de quitter sa maison inondée et de traverser les Etats Unis pour trouver un emploi en Alaska. Quand sa voiture tombe en panne dans une petite ville d’Oregon, les ennuis commencent.

Si la nouvelle est plus explicite que le film (qui manque cruellement de clés pour comprendre et apprécier le personnage), le style de l’auteur reste tout de même trop froid et distant à mon goût. A chaque nouvelle, on pense à un autre livre qu’on a préféré… autant dire que ce n’est pas bon signe !

 

Film de Kelly Reichardt avec Michelle Williams.

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10 avril 2011 7 10 /04 /avril /2011 10:08

Scorsese-Martin

Chacun de ses films… en vaut dix d’autres. Regarder un film de Kubrick c’est comme viser le sommet d’une montagne. Vous regardez en l’air et vous vous demandez : « Comment quelqu’un a-t-il pu monter aussi haut ? »

Martin Scorsese à propos de Stanley Kubrick

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9 avril 2011 6 09 /04 /avril /2011 10:26

wendy.jpg

 Panne sèche

De : Kelly Reichardt

Avec : Michelle Williams, Will Patton...

L’histoire: Wendy, accompagnée de sa chienne Lucy, a pris la route de l'Alaska dans l'espoir de trouver du travail et de commencer une nouvelle vie. Un jour, sa voiture tombe en panne dans une petite ville de l'Oregon...

Mon avis : Récompensé dans de nombreux festivals et soutenu en France par une presse unanime, Wendy et Lucy était donc précédé d’une excellente réputation. Hélas, l'adaptation de Kelly Reichardt se révèle bien décevante. Et surtout presque ennuyeuse tant les rencontres et les « rebondissements » sont pâles et monotones. Evidemment, Wendy et Lucy fait partie de ces films fragiles, au budget limité, qui privilégient l’ambiance et la justesse de ton à une narration classique, et que l’on a envie de défendre quand ils sont réussis. Mais l’émotion cinématographique n’est pas forcément tributaire de l’élément économique. Pourquoi minimalisme signifierait-il forcément absence d’intensité ? Bien sûr, il y a la volonté dans Wendy et Lucy de ne pas tomber dans le pathos facile, une envie de toucher juste dans cette  description de l’Amérique profonde et blessée. Pourtant, il est bien difficile d’être ému par ce film tant l’ensemble est sec et donne si peu de clés au spectateur pour rendre cette histoire marquante. On le répète, nous avons été bien déçus…

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8 avril 2011 5 08 /04 /avril /2011 10:12

le-lievre-et-la-tortue.jpg

De : Wilfred Jackson

L’histoire : Une course oppose le Lièvre à la Tortue, qui va l’emporter ?

Mon avis : Largement inspiré de la fable de La Fontaine, qui lui-même s’était inspiré d’Esope, Le Lièvre et la Tortue est un des Silly Symphonies les plus connus. Dans une animation très fluide, soulignée par une musique rendant parfaitement compte de l’action, la course sans grand suspense revêt un nouvel intérêt. Le Lièvre vantard et moqueur attire une certaine tendresse tandis que l’on s’attache à la laborieuse et aimable Tortue, et le fait qu’ils prennent chacun le spectateur à parti n’y est pas pour rien. Ce court métrage a reçu l'Oscar du meilleur court métrage d'animation en 1934 et a fait l’objet d’une suite deux ans plus tard, intitulée Le Retour de Toby la Tortue, toujours réalisée par Wilfred Jackson.

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7 avril 2011 4 07 /04 /avril /2011 10:01

Tomei-Marisa.jpg

Née le 4 décembre 1964 à Brooklyn, Marisa Tomei est d’origine sud-américaine. Elle débute sa carrière en 1992 avec Cœur Sauvage, dans lequel elle est la serveuse amoureuse de Christian Slater. Puis elle incarne Mabel Normand, actrice de films muets dans Chaplin de Richard Attenborough et enchaîne avec Le Journal de Ron Howard et Ce que veulent les femmes de Nancy Mayers. Parallèlement, elle fait beaucoup de théâtre, et obtient notamment le rôle-titre de Salomé aux côtés de Al Pacino.

Elle alterne avec dextérité les comédies (Attraction animale, Self Control, Irrésistible Alfie, Cyrus…) et les films plus ambitieux comme 7h58 ce samedi-là ou The Wrestler qui lui a permis d’être nominée aux Oscar dans la catégorie meilleur second rôle pour la troisième fois de sa carrière. Gageons que cette actrice, qui a déjà travaillé avec Robert Downey Jr, Michael Keaton, Mel Gibson, Ashley Judd, Hugh Jackman, Greg Kinnear, Adam Sandler, Jack Nicholson, Jude Law, Philip Seymour Hoffman, Ethan Hawks et John C. Reilly n’est pas prête de s’arrêter. Elle est d’ailleurs à l’affiche de Crazy, Stupid, Love avec Steve Carrell et Ryan Gosling sorti en 2011.

En 2004, elle prête sa voix à Sara Sloane, star de cinéma qui tombe amoureuse de Ned Flanders dans les Simpson (saison 14, épisode 13).

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6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 10:01

Films de fin du monde avec menace extraterrestre, enfants à sauver et stars hollywoodiennes... et un ovni signé Werber. Ne diffère que la place du titre et la qualité des films !

Guerre-des-mondes.jpgNos amis les terrienspredictions

La Guerre des mondes (Steven Spielberg) - 2004, Nos amis les Terriens (Bernard Werber) - 2007

et Prédictions (Alex Proyas) - 2009

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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 10:49

Lugosi-Bela-dracula.jpg

"La plus grande ambition de chaque acteur est de créer son propore rôle, définitif et original, un personnage auquel il sera toujours identifié. Pour ma part, ce rôle est celui de Dracula."

Bela Lugosi

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1 avril 2011 5 01 /04 /avril /2011 10:13

Dracula.jpg

Dracula est un roman écrit par l’irlandais Bram Stoker en 1897. Il raconte l’histoire d’un vampire, personnage aux pouvoirs surnaturels qui apparaît en pleine mode du roman gothique. Bram Stoker fait du Comte un être humain damné, un mort-vivant. C’est cette dimension complexe d’homme rejeté par Dieu qui assure son charme. Il est entouré de différents personnages : Jonathan Harker qui se rend en Transylvanie pour faire affaire avec Dracula, Wilhelmina « Mina Murray » Harker, sa fiancée et Abraham Van Helsing, qui est à l’origine un docteur hollandais. Le Comte est un vampire aristocratique, à la fois monstrueux et raffiné, qui vit dans un château retiré des Carpates. Bram Stoker introduit les éléments du mythe : l’absence de reflet dans les miroirs, la capacité à se transformer en chauve-souris, l’impossibilité à entrer chez quelqu’un sans y avoir été invité… Dracula boit du sang pour rajeunir et devenir plus fort, mais le fait de ne pas en boire ne remet pas en cause son immortalité. L’ail, les crucifix, les hosties et l’eau bénite le repoussent et une branche de rosier sauvage posée sur son cercueil l’empêche d’en sortir. Il peut être détruit si son cœur est transpercé, s’il est décapité ou si une balle bénie est tirée dans sa tombe.

Les films s’appelant Nosferatu sont des adaptations non officielles faute d’accord des ayants droits de Bram Stoker.

Les Studios Universal et Hammer Films ont adapté de nombreux classiques d’horreur et des suites originales, dont un certain nombre dédiés à Dracula.

Le premier à lui prêter ses traits est Max Schreck dans Nosferatu le Vampire de Friedrich Murnau (1922). Son l’interprétation était tellement crédible que des spectateurs ont cru qu’il s’agissait réellement d’un vampire, jeu sur lequel joue aussi L’Ombre du Vampire. Dans ce film, il ne peut être détruit que si une femme pure parvient à le retenir toute la nuit et lui faire oublier le chant du coq, ce qui marque le début de l’idée selon laquelle la lumière du jour serait fatale aux vampires.

Bela Lugosi a joué quatre fois le Comte et a d’ailleurs été enterré avec sa cape. Dans Dracula de Tod Browning (1931), le vampire va changer de visage et passer d’un monstre hideux à un séducteur chevronné.

Carlos Villarias dans Dracula de George Melford et Enrique Tovar Avalos (1931) qui est réalisé dans les mêmes décors et selon la même intrigue que celui de Tod Browning.

Lon Chaney Jr dans Le Fils de Dracula de Robert Siodmak (1943), qui évoque donc pour la première fois la possibilité pour le vampire de se reproduire.

John Carradine dans La Maison de Frankenstein de Erle C. Kenton (1944), produit par Universal.

John Carradine dans La Maison de Dracula de Erle C. Kenton, avec Glenn Strange dans le rôle de la créature de Frankenstein (1945), produit par Universal.

Bela Lugosi dans Deux Nigauds contre Frankenstein de Charles Barton (1948), produit par Universal.

Atif Kaptan dans Dracula à Istanbul de Mehmet Muhtar (1953).

Francis Lederer dans Le Retour de Dracula de Paul Landres (1958).

Christopher Lee dans Le Cauchemar de Dracula de Terence Fisher, qui décide que Dracula ne peut pas se transformer et changer d’apparence, produit par  Hammer Films (1959).

Jeffrey Smithers dans La Colline du désir de Lee Frost (1962).

Tony Gosalvez dans Mga Manugang in Drakula de Artemio Marquez (1963).

Jack Smith dans Batman Dracula de Andy Warhol (1964)

Christopher Lee dans Dracula, prince des ténèbres de Terence Fisher, produit par Hammer Films (1965).

John Carradine dans Billy the Kid vs. Dracula de William Beaudine, avec Chuck Courtney dans le rôle du Kid (1966).

Allen Swift dans le film d’animation Mad Monster Party ? de Jules Bass (1967).

Rehan dans Dracula au Pakistan de Khwaja Sarfraz (1967).

Dante Rivero dans Batman Fights Dracula de Leody M. Diaz (1967).

Aldo Monti dans Santo contre le trésor de Dracula de Rene Cardona (1968).

Christopher Lee dans Dracula et les femmes de Freddie Francis qui choisit d’érotiser particulièrement la morsure du vampire, en lien avec l’apparition du personnage du scream queen : belle victime dénudée et épouvanté, produit par Hammer Films (1968).

Alexander D’Arcy dans Le Château de Dracula de Al Adamson et Jean Hewitt (1969)

Christopher Lee dans Les Cicatrices de Dracula de Roy Ward Baker, produit par Hammer Films (1970).

Christopher Lee dans Une messe pour Dracula de Peter Sasdy, produit par Hammer Films (1970).

Christopher Lee dans Les Nuits de Dracula de Jesus Franco, avec Herbert Lom dans le rôle de Van Helsing (1970).

Christopher Lee dans la comédie One More Time de Jerry Lewis (1970).

Grant Munro dans Ashes of Doom de Don Arioli et Grant Munro (1970).

Manuel de Blas dans Dracula contre Frankenstein (Reincarnator) de Tulio Demicheli (1970).

Paul Albert Krumm dans Jonathan de Hans W. Geissendörfer (1970).

Howard Vernon dans Dracula, prisonnier de Frankenstein (ici Dennis Price) de Jesus Franco (1971).

Eddie Garcia dans Batuta in Drakula de Luis San Juan (1971).

Christopher Lee dans le documentaire sur Les Nuits de Dracula : Cuadecuc, vampir de Pere Portabella (1971).

Ferdy Mayne dans The Vampire Happening de Freddie Francis (1971).

Zandor Vorkov (Roger Engel) remplaçant John Carradine qui était initialement prévu dans Dracula contre Frankenstein de Al Adamson, avec J. Carroll Naish dans le rôle de Frankenstein (1971).

Jacinto Molina dans Le Grand amour de Dracula de Javier Aguirre (1972).

Charles Macaulay dans Le Vampire Noir de William Crain (1972).

Howard Vernon, « papa » de Britt Nichols, la fille du titre dans La Fille de Dracula de Jesus Franco (1972)

Howard Vernon dans Dracula, prisonnier de Frankenstein de Jesus Franco (1972)

Christopher Lee dans Dracula 73 de Alan Gibson, avec Peter Cushing dans le rôle de Van Helsing, produit par Hammer Films (1972).

Aldo Monti dans Santo & Blue Demon vs. Dracula & the Wolfman de Miguel M. Delgado, avec Agustin Martinez Solares dans le rôle du Loup Garou (1973).

Jack Palance dans Dracula et ses femmes vampires de Dan Curtis (1973), adaptation fidèle du roman, c’est le premier à mettre en avant l’idée du vampire confronté à la réincarnation de sa femme, qui sera l’élément-clé de l’adaptation de Coppola.

Narciso Ibanez Menta dans La saga de los Dracula de Leon Klimovsky (1973).

Udo Kier dans Du Sang pour Dracula de Paul Morrissey (1974). Dans ce film, Dracula boit le sang de vierges pour retrouver sa vigueur. Cette version, sortie en pleine révolution sexuelle et franchement érotique, valorise le « péché de chair » qui permet de déjouer les plans du Comte.

Christopher Lee dans Dracula vit toujours à Londres de Alan Gibson, produit par Hammer Films (1974).

John Forbes-Robertson dans La Légende des Sept Vampires d’or de Roy Ward Baker, produit par Hammer Films (1974).

Harry Nilsson dans le rôle-titre de Son of Dracula de Freddie Francis, avec Dennis Price en Van Helsing, Freddie Jones en Dr Frankenstein et Ringo Starr en Merlin l’Enchanteur, si si (1974).

Paul Naschy dans Le Grand amour du comte Dracula de Javier Aguirre (1974).

David Niven dans Old Dracula de Clive Donner (1974).

Christopher Lee dans le documentaire Vem vr Dracula ? de Calvin Floyd (1975).

Peter Cushing dans Tendre Dracula de Pierre Grunstein (1975).

David Niven dans Vampira (Les Temps sont durs pour Dracula) de Clive Donner (1975).

Gary R. Holstrom dans Deafula de Peter Wolf (1975).

Art Leonardi dans le dessin animé Les Aventures de la Panthère Rose en Transylvanie (Pink Plasma), qu’il a lui-même réalisé (1975).

Jay Robinson dans Train Ride to Hollywood de Charles R. Rondeau (1975).

Christian Aligny dans Sexycon de Sergio Martino (1976).

Christopher Lee dans Dracula père et fils de Edouard Molinaro, avec Bernard Ménez en fil de Dracula (1976).

Stephen Boyd dans Lady Dracula de Franz Josef Gottleib (1978).

Michael Pataki dans Zoltan, le chien de Dracula de Albert Band (1978).

Frank Langella dans Dracula de John Badham (1979), adaptation fidèle du roman qui met en scène un Dracula sensuel et très distingué, capable de tomber amoureux, avec Laurence Olivier dans le rôle du professeur Van Helsing.

Klaus Kinski dans Nosferatu, fantôme de la nuit de Werner Herzog (1979), qui présente le vampire comme une victime que le temps ne laisse pas en paix et qui se plaint de ne pas pouvoir mourir.

George Hamilton dans Le Vampire de ces dames de Stan Dragoti (1979).

Andréas Voutsinas dans Charlots contre Dracula de Jean-Pierre Desagnat (1980).

Fabian Aranza dans La Dinastia de Dracula de Alfredo B. Crevenna (1980).

Duncan Regehr dans The Monster Squar de Fred Dekker (1987).

Klaus Kinski dans Nosferatu à Venis de Augusto Caminito (1988).

Hamilton Camp dans le film d’animation Scooby-Doo : Le Rallye des monstres de Ray Patterson (1988).

David Carradine dans Sundown de Anthony Hickox (1990).

Gary Oldman dans Dracula de Francis Ford Coppola (1992), adaptation fidèle du roman avec Keanu Reeves en Jonathan Harker, Winona Ryder en Mina et Anthony Hopkins en Van Helsing. Ce film montre un reversement des valeurs : c’est à cause de l’Eglise que Dracula a accédé à l’état de vampire. Le Comte s’est détourné de l’Eglise parce qu’elle avait refusé d’enterrer sa femme qui s’était suicidée.

Anthony Georghiou dans U.F.O de Tony Dow (1993).

Peter Fonda dans Nadja de Michael Almereyda (1994).

Anthony Crivello dans Monster Mash : The Movie de Joel Cohen et Alec Sokolow (1995).

Leslie Nielsen dans Dracula, mort et heureux de l’être de Mel Brooks (1995).

Conner Vandeer dans Frankenstein et moi de Robert Tinnell (1997).

Ernest M. Garcia, Chaba Hrotko et Tom McGowan dans Die Hard Dracula de Peter Horak, avec Bruce Glover en Van Helsing (1998).

Willem Dafoe dans la mise en abîme qu’est L’Ombre du vampire de E. Elias Merhige (2000), mélange anecdotes du tournage du film de 1922 et éléments fantastiques.

Toni Bertorelli dans Zora la Vampire de Antonio et Marco Manetti (2000).

Gerard Butler dans Dracula 2001 de Patrick Lussier, avec Christopher Plummer en Van Helsing (2001).

Langley Kirkwood dans Dracula 2000 de Darrell Roodt (2004) selon lequel Dracula ne serait autre que Judas Iscariote, l’apôtre de Jésus condamné pour sa traîtrise.

Stephen Billington dans Dracula II : Ascension de Patrick Lussier (2003).

Enrique Sarasola dans Killer Barby vs. Dracula de Jesus Franco (2002).

Thomas Desfossé dans La Fiancée de Dracula de Jean Rollin (2002).

Zhang Wei-Qiang dans Dracula, pages tirées du journal d’une vierge de Guy Maddin (2003).

Richard Roxburgh dans Van Helsing de Stephen Sommers, avec Hugh Jackman dans le rôle de Van Helsing, Shuler Hensley dans celui du monstre de Frankenstein, Samuel West en Dr Frankenstein, Robbie Coltrane en Mr Hyde et Stephen Fisher en Dr Jekyll (2004).

Dominic Purcell (Drake) dans Blade : Trinity de David S. Goyer (2004).

Rutger Hauer (Dracula III) et Stephen Billington (Dracula II) dans Dracula III : Legacy de Patrick Lussier (2005).

Peter Stormare joue le Comte dans le film d’animation Batman vs. Dracula de Michael Goguen (2005).

Marc Warren dans Dracula de Bill Eagles (2006).

David Harbour dans Awake de Joby Harold (2007)

Sam Worthington dans Dracula Year Zero de Alex Proyas (2007).

Max Alexander dans Sans Sarah, rien ne va de Nicholas Stoller (2008)

Dan Castellaneta a lui aussi prêté sa voix au célébre vampire dans les quatre épisodes des Simpson dans lesquels il apparaît : Treehouse of Horror (Saison 21 épisode 4 - 2009), E. Pluribus Wiggum (saison 19 épisode 10 - 2008), You Kent Always Say What You Want (saison 18 épisode 22 - 2007), Brawl in the Family (saison 13 épisode 7 - 2002).

En 2011, une nouvelle comédie musicale chorégraphiée par Kamel Ouali et écrite par Jennifer Ayache (Superbus) mettra en scène le personnage de Bram Stocker. Pour les curieux, premier titre ici.

Appian Way, la société de production de Leonardo DiCaprio prévoit de tourner une nouvelle adaptation intitulée Harker et mettant en scène Jonathan Harker, un policier de Scotland Yard, à la recherche du Comte Dracula. A priori, DiCaprio ne fera pas partie du casting.

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