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Wikio - Top des blogs - Cinéma

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Présentation

Bonjour,

Sur ce blog, on peut trouver différentes rubriques :

     - Les films d'avril : présentation de nos projets 
     - Critiques ciné : notre avis sur les films qui sont à l'affiche
     - Classiques : critiques de films relativement anciens

     - Filmographies : filmographies des acteurs et réalisateurs qui font l'actualité

     - Qui qu'a joué qui ? : noms des acteurs ayant prêté leur visage et/ou leur voix à des personnages connus

     - Dans quoi c'est-y donc que je l'ai vu ? : rubrique consacrée aux acteurs assez peu connus, souvent seconds rôles, dont on ne connait jamais le nom

     - Verbatim : chaque dimanche, une citation en lien avec les sorties de la semaine... ou non

     - Affiches : certaines affiches de films se ressemblent étrangement. Hommage, coïncidence ou copie ? A vous de juger
     - Actualité : fait d'actualité du cinéma qui nous a marqué

     - Billets d'humeur : nos coups de gueule et réactions à tout ce que nous pouvons lire/voir/entendre

D'autre part, les suggestions de critiques et/ou filmographies sont les bienvenues !
Suite à la consultation des mots clés qui vous amènent sur ce blog, nous vous informons que vous pouvez toujours nous contacter pour nous demander qui jouait "bidule" dans tel film et, si on a la réponse, on vous répondra...
N'hésitez pas à donner votre avis ou a faire des remarques : ce blog est fait pour vivre !

Présentation

Les Films d'avril est le nom que nous avons donné a notre pseudo-boîte de production (qui en réalité n'a pas un rond). Nous réalisons donc des courts métrages que vous pouvez voir sur ce blog, mais surtout, nous sommes CINEPHAGES.
Et comme nous voyons pas mal de films au cinéma, mais aussi en DVD, nous nous permettons de vous donner notre avis en essayant de rester positifs (parce qu'on a pu toucher du doigt l'inverstissement colossal que représente un film, même court, et qu'on n'est pas des critiques frustrés) !

Notre système de notation est le suivant :
 A voir séance tenante
 A ne pas rater
 Se laisse regarder
 Mouais
 Vraiment pas terrible
 Passez votre chemin
Quoi qu'il arrive, n'hésitez pas à donner votre avis ou à émettre des requêtes. Pour cela, vous pouvez nous joindre en laissant un commentaire (ça fait toujours plaisir) ou en nous écrivant :
lesfilmsd.avril@free.fr.
A bientôt !

13 novembre 2012 2 13 /11 /novembre /2012 10:34

protocole-fantome.jpg

 

De : Brad Bird

Avec : Tom Cruise, Jeremy Renner, Simon Pegg

L’histoire : Impliquée dans l’explosion du Kremlin, l'agence Mission Impossible (IMF) est discréditée. Tandis que le président lance l'opération "Protocole Fantôme", Ethan Hunt, privé de ressources et de renfort, doit trouver le moyen de blanchir l'agence tout en déjouant un attentat nucléaire…

Mon avis : Premier film en prises de vues réelles pour Brad Bird (Les Indestructibles,  Ratatouille), ce Mission : Impossible est un divertissement spectaculaire, ludique et plutôt drôle. Sans révolutionner les codes de la franchise initiée par Tom Cruise (dont il choisit les réalisateurs et produit les films), ce Protocole Fantôme regorge de scènes surprenantes (la poursuite dans la tempête de sable, par exemple) et impeccablement filmées. Le rythme est soutenu du début à la fin, et malgré les invraisemblances, il est difficile de ne pas résister à ce jeu de dupes où seul le méchant (interprété par Michael Nyquvist, le héros de Millenium) semble un peu sacrifié par les prouesses visuelles. Surtout, ce quatrième épisode est le seul entièrement fondé sur une équipe, ce qui permet de pimenter ces aventures pas uniquement centrées sur son héros-producteur (Renner se retrouvant en « apesanteur » comme Cruise dans le premier volet). Bien sûr, ce dernier se réserve les scènes les plus impressionnantes. Le morceau de bravoure de du film étant l’incroyable ascension de la Burj Khalifa (la plus grande tour du monde), effectuée par la star himself (voir les bonus surréalistes du Bluray pour le croire !).

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7 novembre 2012 3 07 /11 /novembre /2012 10:20

tout-le-monde-dit-i-love-you.JPEG

 

De : Woody Allen

Avec : Woody Allen, Julia Roberts, Edward Norton, Drew Barrymore…

L’histoire : Les membres d'une famille américaine se retrouvent tout au long de l'année à l'occasion des grandes fêtes de l’année. L’occasion pour eux de faire le point sur leurs amours… et leurs emmerdes !

Mon avis : Si vous êtes allergiques aux comédies musicales, Tout le monde dit I love you est le moyen de revoir votre jugement ! Certes, on y chante (pas toujours juste), on y danse (pas toujours très bien, n’est-ce pas Edward Norton ?) mais aucun numéro ne traîne en longueur ni ne plombe le rythme, caractéristiques inhérentes au genre. Evidemment, les enjeux dramatiques sont mineurs (exemple : Woody va-t-il séduire Julia ? – ou l’intérêt d’être le scénariste de son  propre rôle !), mais le film irradie de joie de vivre et de légèreté revendiquée. Ce qui ne l’empêche d’aborder au détour d’une scène des sujets graves (même les morts font le show…), mais toujours la vanne au coin de la bouche (ah ! le fils qui se découvre républicain dans cette famille de démocrates utopistes !). Le spectacle est d’autant plus agréable qu’il nous emmène à Venise, à Paris et à New York of course. Bref, Tout le monde dit I love you est un film réjouissant et échevelé, susceptible de vous redonner le moral les jours de déprime. Ce qui n’est pas rien…

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2 novembre 2012 5 02 /11 /novembre /2012 10:40

Skyfall.jpg

 

De : Sam Mendes

Avec : Daniel Craig, Javier Bardem, Ralph Fiennes, Judy Dench…

L’histoire : Lorsque la dernière mission de James Bond tourne mal, plusieurs agents infiltrés se retrouvent exposés dans le monde entier. Le MI6 se voit remis en cause par le gouvernement et Bond doit agir dans l’ombre…

Mon avis : James Bond fête ses cinquante ans mais le bilan de santé ne signale rien d’inquiétant ! Avec Sam Mendes ( Les Noces rebelles,  Away we go) aux commandes, ce nouvel opus bondien est une habile fusion entre le cahier des charges inhérent à la saga (un méchant, des pépées et un générique véritable « film dans le film ») et les nouveautés apportées avec fracas par le reboot (osons le mot) Casino Royale. De fait, les clins d’œil aux précédents épisodes ne manquent pas et l’intrigue emmène le spectateur dans une sorte de voyage dans le passé très stylisé (voir les costumes de Bond franchement sixties), auquel la belle lumière de Roger Deakins ( Kundun, The Reader) apportent une touche de classe. On y apprendra surtout quelques informations personnelles sur l’espion le plus célèbre de sa Gracieuse Majesté. Cerise sur le gâteau : le vilain (dans tous les sens du terme) interprété ici avec jubilation (ce doit être la blonde attitude) par Javier Bardem, amuse autant qu’il intrigue. Bref, Skyfall assure le spectacle et remet sur rails une franchise qui avait un peu déçu avec Quantum of Solace.

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31 octobre 2012 3 31 /10 /octobre /2012 12:14

Amour.JPG

 

De : Michael Haneke

Avec : Jean-Louis Trintignant, Emmanuelle Riva, Isabelle Huppert…

L’histoire : Georges et Anne sont octogénaires. Professeurs de musique à la retraite, ils vivent dans un grand appartement à Paris. Un jour, Anne est victime d’une petite attaque cérébrale. Lorsqu’elle sort de l’hôpital et revient chez elle, elle est paralysée d’un côté…

Mon avis : « La vieillesse est un naufrage » écrit Chateaubrian. Haneke le montre. De fait, ne faut-il pas être un brin maso pour aller voir une histoire de maladie et de fin de vie signée par le « professeur » Haneke ? Sans doute. Car le réalisateur n’épargne rien au spectateur et son « système » très clinique (plans séquence, caméra placée à la même hauteur) accentue le côté oppressant de son histoire filmée presque entièrement dans un grand appartement parisien. On pourrait presque en vouloir à Haneke de montrer si peur d’amour (quelques gestes très discrets), dans un film au titre aussi beau que simple. Et pourtant, cette Palme d’Or 2012 possède la puissance des films qui marquent insidieusement. Car l’on prend très peu de plaisir à regarder Amour. Si ce n’est de retrouver un Trintignant impérial et touchant, surprenant et cassant. Plus que le climax « attendu » (déjà vu dans d’autres films, d’ailleurs), il est difficile d’oublier certaines scènes, comme celle où Georges tente de capturer un pigeon ayant pénétré dans son appartement, dont la résolution surprend autant qu’elle émeut. Difficile aussi de comprendre par moments la démarche de Haneke : lui qui refuse de mettre de la musique parce dans la vraie vie, il n’y en a pas, mais qui n’hésite pas à donner à son film un final très fantastique. Lui qui fait également dire à Trintignant : « Tout cela ne mérite pas d’être montré » est qui en définitive, le montre bel et bien. Un réalisateur troublé parce qu’il parle un peu de lui ? En effet, Haneke a avoué que son scénario était est tiré d’un pacte qu’il a lui-même passé avec son épouse. Du coup, est-ce vraiment un hasard s’il fait dire à Emmanuelle Riva (au jeu un peu faux au début, mais au visage magnifique) : « Tu ne vas pas écorner ton image dans tes vieux jours » ? Amour est un film-requiem déroutant et traumatisant, de ces films peu aimables qui ont l’étoffe des grands.

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10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 12:18

elle-s-appelle-ruby.jpg

 

De : Jonathan Dayton et Valerie Faris

Avec : Paul Dano, Zoe Kazan, Steve Coogan, Elliot Gould

L’histoire : Un jeune écrivain en panne d’inspiration voit l’un de ses personnages apparaître en chair et en os dans sa vie…

Mon avis : Après la perle Little Miss Sunshine, le duo Dayton/Faris livre une comédie romantique et rafraîchissante empreinte de fantastique. Le script, écrit par Zoe Kazan, fait quelque penser à un croisement improbable entre Guillaume Musso et Woody Allen, mais il possède sa petite musique propre et réinvente le mythe de Pygmalion avec tendresse mais sans mièvrerie. A la tête d’un casting surprenant (Annette Bening, Antonio Banderas…), Paul Dano se révèle très à l’aise dans le registre décalé, renforçant la sympathie que l’on éprouve pour ce film. Pourtant, Elle s’appelle Ruby reste assez sage dans son traitement et un petit grain de folie supplémentaire aurait sans doute pu emmener le film vers des sommets de dinguerie et d’absurde. Mais l’ensemble est suffisamment plaisant et divertissant pour ne pas trop lui en tenir rigueur…

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3 octobre 2012 3 03 /10 /octobre /2012 08:23

the-artist.jpg

 La voix de son maître

De : Michel Hazanavicius

Avec : Jean Dujardin, Bérénice Bejo, James Cromwell

L’histoire : Hollywood 1927. George Valentin est une vedette du cinéma muet qui additionne les succès. Mais l'arrivée des films parlants va bousculer sa carrière…

Mon avis : Enorme succès de l’année 2011, multi récompensé (six Césartrois Golden Globes et cinq Oscar !) et encensé par le public comme par la critique, The Artist est une gourmandise de cinéphile. Entreprise ô combien casse-gueule, le film rend un hommage vibrant et sincère aux films muets Hollywoodiens. Techniquement, The Artist est une réussite incontestable : cadrages magnifiques, direction artistique impeccable, montage inventif,  bref, on en prend plein la vue. Le spectateur sent parfaitement combien le réalisateur et ses acteurs ont bien travaillé pour le film, et surtout combien le plaisir fut grand pendant le tournage, notamment pour un Dujardin (très bien, même si on se demande encore comment l’Oscar a échappé à DiCaprio pour J. Edgar) jouant les Douglas Fairbanks avec une évidente jubilation. Pourtant, il faut avouer que le film peine quelque peu à émouvoir : le personnage de Georges Valentin est un cabot sympathique mais égocentrique, dont les déboires ne bouleversent guère. En effet, le scénario, très linéaire et sans surprise, reste trop centré sur son « héros ». Un exemple : la crise de 1929 n’est évoquée que pour montrer combien Valentin a du mal à rembourser son premier film en tant que producteur-réalisateur. Ainsi, The Artist, le film comme le personnage, ne voit pas plus loin que les portes des studios de cinéma, et n’atteint pas l’universel comme l’aurait fait un Chaplin, par exemple. Malgré cette réticence, The Artist remporte haut la main la main son pari un peu fou : oui, à l’heure de la 3D et de l’Imax, il est encore possible de déplacer les foules avec un film en noir et blanc et muet…

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29 septembre 2012 6 29 /09 /septembre /2012 17:43

Jason-Bourne-l-heritage.jpg

  Bourne again

De : Tony Gilroy

Avec : Jeremy Renner, Rachel Weisz, Edward Norton…

L’histoire : Alors que Jason Bourne s’apprête à révéler la vérité sur le programme Treadstone, Aaron Cross, agent secret travaillant pour le gouvernement va découvrir un projet plus ambitieux encore. Sa tête va être très vite mise à prix…

Mon avis : Réalisé par le scénariste de la saga « Bourne » avec Matt Damon, Jason Bourne : l’héritage n’est ni un prequel ni une suite. Son histoire s’inscrit en parallèle de La Vengeance dans la peau, et mieux vaut avoir jeté un petit coup d’œil sur le film pour en comprendre les enjeux. En effet, les premières minutes paraîtront bien compliquées pour les néophytes. Néanmoins, il leur suffira de se laisser gagner par la paranoïa rampante du film pour se voir récompensés. Car ce nouvel opus sans Paul Greengrass ni Damon au générique respecte bien le cahier des charges de la saga : manipulations de la CIA, espions devenus super soldats, exotisme des lieux, spectaculaires scènes de poursuites… Certes, le film aurait gagné en rythme sans une exposition un peu lente (et donc une petite coupe d’un quart d’heure), mais une fois le turbo lancé, Jason Bourne : l’héritage assure le spectacle et pourvoie le spectateur en bonnes doses d’adrénaline. On retiendra en particulier une scène de tuerie particulièrement glaçante dans un laboratoire et une poursuite en moto à rendre jaloux un certain James Bond. Sans oublier quelques prouesses formelles et techniques bluffantes (un plan séquence où Aaron Cross grimpe sur un toit et pénètre dans la maison pour éliminer un tueur à ses trousses, par exemple). Dans le rôle du super espion, Jeremy Renner s’avère très crédible et suffisamment charismatique pour succéder sans rougir à Damon. Sans doute pas le meilleur des films d’espionnage, mais un divertissement très efficace et réussi.

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16 septembre 2012 7 16 /09 /septembre /2012 16:35

Taken

 

De : Pierre Morel

Avec : Liam Neeson, Maggie Grace, Famke Janssen…

L’histoire : Ancien agent secret installé à Los Angeles, Bryan Mills voit sa fille de dix-sept ans kidnappée par la mafia albanaise. Il décide de la retrouver et de faire lui-même justice…

Mon avis : Succès surprise de l’année 2008, Taken est une série B calibrée qui réjouira tous ceux que les incohérences scénaristiques ne gênent pas. Surtout, le film tue dans l’œuf tout suspens en révélant dans les premières minutes le passé « musclé » de son personnage principal. L’intrigue est co-signée par Luc Besson, et hélas, cela se voit : les riches sont infréquentables (ils gâtent trop leurs enfants ou se révèlent d’une perversité que même Chabrol n’avait pas imaginée) et les flics benêts et/ou pourris. A maintes reprises, Taken frôle le nanar et se révèle (involontairement) drôle. Heureusement, la botte secrète du film s’appelle Liam Neeson. Charismatique et crédible dans un rôle physique, il est dommage de voir ce dernier évoluer dans une intrigue indigne de son talent (en même temps, le scénario, il l’avait lu). Bref, un film à ne regarder que les soirs de grosse fatigue ou les week-ends pluvieux…

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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 19:40

rebelle.jpg

 

De : Mark Andrews et Brenda Chapman

Avec les voix françaises de : Bérénice Bejo, Jacques Frantz, Nathalie Homs…

L’histoire : Mérida, fille d’un roi d'Écosse, est une jeune fille impétueuse et échevelée dont la passion est le tir à l’arc. À la suite d'une dispute avec sa mère, elle fait un choix désespéré qui va avoir de grandes conséquences sur le royaume de son père et la vie de sa mère…

Mon avis : L’alliance Disney/Pixar nous livre un film d’animation qui en met plein la vue : décors magnifiques, rythme effréné et personnages attachants sont les atouts de cette Rebelle émancipée et… féministe (si les « hommes », tour à tour guerriers, buveurs et arrogants, en prennent pour leur grade, le film revient sur l’ineptie des mariages arrangés). S’il n’atteint pas l’émotion de Là-Haut, ni la qualité d’écriture de Ratatouille, Rebelle confirme une nouvelle fois le talent des créateurs des deux studios qui savent innover tout en conservant les codes qui ont fait le succès des Studios Disney. L’héritage de La Petite Sirène, notamment, avec qui Mérida partage sa rébellion contre les codes du royaume et son recours à la magie, est évidente, même si cette dernière est finalement bien plus proche de la Fiona de Shrek (qui, rappelons-le, est un film Dreamworks) que de n’importe quelle princesse en mal de prince charmant. Bref, un spectacle à la qualité plastique indéniable et plein d’humour, déconseillé aux tout-petits, dans lequel les plus grands remarqueront les clins d’œil à Steve Jobs, mentor de Pixar décédé en 2011 auquel le film est dédié.

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8 août 2012 3 08 /08 /août /2012 15:37

dark-knight-rises.jpg

 

De : Christopher Nolan

Avec : Christian Bale, Anne Hathaway, Gary Oldman, Joseph Gordon Levitt…

L’histoire : Huit ans après la mort du procureur Harvey Dent, Bruce Wayne ne va pas fort : reclus dans son manoir, il a remisé au placard son costume de justicier. Mais la menace d’un terroriste masqué à Gotham va bousculer l’ordre des choses…

Mon avis : Dernier opus de la saga Batman selon Nolan, The Dark Knight Rises conclue brillamment la trilogie. Le défi était de taille, les deux précédentes aventures du Chevalier Noir ayant quelque peu révolutionné les films de super-héros : personnage principal ambigu et torturé, thématique complexe autour du mythe du héros et direction artistique impressionnante font de cette saga une incontestable réussite cinématographique. Bon, osons quand même dire que nous avons trouvé le film un tantinet en dessous du carrément génial The Dark Knight (la faute à quelques scories dans le scénario), mais le spectacle attendu est bel et bien là. La mise en scène de Nolan s’avère une nouvelle fois bluffante de maîtrise et certaines images du film vont rester dans les mémoires (la scène du stade de football, pour ne citer que celle-là). Le casting formidable mêlant ceux des précédents films (Christian Bale, Gary Oldman, Morgan Freeman et un très émouvant Michael Caine) avec des petits nouveaux ayant déjà travaillé avec le réalisateur sur l’immense Inception : Joseph Gordon-Levitt, Tom Hardy (terrifiant mélange de Hannibal Lecter et de Dark Vador) et Marion Cotillard (désincarnée et pas vraiment concernée, au point qu’un site Internet assez moqueur lui est consacré… attention : spoiler) ou pas (Anne Hathaway, plutôt bombesque en Catwoman). Bref, The Dark Knight Rises est un grand spectacle épique et foisonnant qui donne à réfléchir. Une fois de plus, bravo Mr Nolan !

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