« C’est réellement l’histoire d’un petit garçon. Mais il devient ami avec Georges Méliès, qui a été retrouvé en 1927 ou 1928, travaillant dans un magasin de jouets, complétement ruiné. Puis il a été réanimé, d’une certaine façon, par un merveilleux gala donné à Paris en 1928. Dans mon film, le cinéma est lui-même la connexion – l’automate, la machine elle-même sert de vecteur émotionnel entre le garçon, son père, Méliès et sa famille. L’idée est de montrer comment tout se rassemble, de quelle manière les gens s’expriment émotionnellement et psychologiquement par le biais de la technologie. C’est la connexion entre les gens et ce qui manque – de quelle manière la technique palie au manque. »
Martin Scorsese à propos de Hugo Cabret